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Qui suis-je ?
Psychanalyste relationnelle et intégrative.
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La complexité humaine ne peut être abordée par une seule méthode.
C’est parce que j’ai entrepris un long travail sur moi-même, à travers différentes approches analytiques et corporelles, que je me suis passionnée pour le fonctionnement du psychisme humain, construisant ainsi la personne et la thérapeute que je suis aujourd’hui. Ma propre expérience a donc forgé ma conviction professionnelle et l’envie de transmettre la force, la richesse et l’espoir de cette expérience de vie.
C’est pourquoi j’ai choisi de suivre une formation de six ans de psychothérapie-relationnelle et intégrative, ouverte et multiréférentielle, complétée par des formations plus spécifiques qui me permettent d’associer dans ma pratique : la psychanalyse, la relaxation, la gestalt, le psychodrame, la médiation corporelle, la systémique, la sociologie, la bioénergie. C’est être ainsi plus créative dans la manière dont je vous accompagne.
Et parce que je me respecte autant que mes patients, j’adhère aux codes déontologiques de la profession qui m’imposent (entre autres) le respect du secret professionnel, de préserver la liberté de pensée de mes patients, de me former en permanence et d’être supervisée.
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Stress et souffrance au travail
Une éthique professionnelle essentielle.
Psychosomaticienne intégrative
« Mens sana in corpore sano » (Juvenal, IIe siècle après JC)... nous n’inventons rien...
J’ai entrepris le DU de psychosomatique intégrative au CHU de la Pitié Salpêtrière pour comprendre de manière plus fine et concrète les inter-relations entre l’esprit (le stress, les émotions...) et le corps (la maladie, la douleur...). Je me suis passionnée pour cette discipline au carrefour de la médecine, de la biologie, des neurosciences et de la psychanalyse, qui m’a ouverte sur de nouvelles dimensions comme la réalité de notre mémoire corporelle.
J’ai donc choisi de faire un stage pratique et expérientiel de neuf mois au sein du Service Urologie de la Pitié Salpêtrière qui m’a permis de me former auprès de patients souffrant de lithiases récidivantes et d’être au cœur de la relation thérapeute-malade. Cette formidable expérience humaine, je la transmets aujourd’hui dans mon cabinet de Boulogne Billancourt.
Oui, nous ne sommes peut être pas tous égaux face à la maladie et au stress, mais il y a une autre alternative que « seulement la médecine » ou « seulement la psychothérapie ».
Pour avoir moi-même exercé pendant quinze ans des fonctions de manager en entreprise, j’ai connu le stress, la fatigue, la perte de sens d’objectifs contradictoires ou inatteignables... Ces expériences m’ont convaincue que je peux apporter autre chose au monde de l’entreprise et à ses collaborateurs.
Pour cela je me suis formée au bilan de compétences et au coaching, au travers d’approches intégratives : systémiques, sociologiques, clinique du travail, gestion des compétences, pédagogie, développement personnel, process du changement... J’ai exercé ainsi ces fonctions (coaching, bilan professionnel, formateur) au sein de cabinets de ressources humaines et auprès de diverses entreprises, en alliant mes connaissances et compétences acquises dans le monde de l’entreprise, à celles de la psychologie du travail.
Aujourd’hui ma pratique intègre non seulement la clinique du travail et des compétences, mais aussi la psychothérapie intégrative, la psychosomatique intégrative et la relaxation.
C’est l’interaction de ces approches qui booste vos réflexions et vous redonne l’énergie d’avancer.
Parce que je respecte profondément les personnes avec qui je travaille et parce que je me respecte tout autant, j’adhère au code de déontologie de la le FF2P(1), de la SNPPsy(2) et de la SFPI(3) qui m’imposent :
• de poursuivre en permanence des formations reconnues et de haut niveau pour questionner et réactualiser continuellement ma pratique.
• de poursuivre régulièrement un travail de supervision de ma pratique.
• d’avoir moi-même suivi une psychothérapie et une psychanalyse approfondies.
En tant que psychanalyste relationnelle et psychosomaticienne intégrative, je me réfère au code de déontologie :
• de la Société Française de Psychanalyse Intégrative, dont l’éthique se réfère aux principes généraux et valeurs de la déclaration universelle des droits de l’homme et du citoyen, particulièrement en termes de dignité, liberté, protection. Ce code de déontologie protège le patient en imposant au praticien entre autres: l’interdit d’abus de pouvoir et de passage à l’acte sur les patients, l’interdit d’abus d’influence et la préservation de la liberté de penser, une obligation de clarté dans les informations données au patient (honoraires, durée et fréquence des séances...), le respect du secret professionnel, l’obligation de supervision.
• du Syndicat National des praticiens et psychothérapie relationnelle et psychanalyse qui impose au praticien, entre autres : d’avoir suivi des formations théoriques et pratiques spécialisées de haut niveau, de faire un travail psychothérapeutique approfondi sur lui-même, d’avoir un questionnement constant sur sa pratique dans le cadre d’instances professionnelles.
Pour en savoir plus sur le code déontologie de la SNPPsy : www.snppsy.org
Pour en savoir plus sur le code déontologie de la SFPI : www.sfpsyi.org/
(1) FF2P : Fédération Française de Psychothérapie et de Psychanalyse. (2) SNPPsy : Syndicat National des Praticiens en Psychothérapie Relationnelle et Psychanalyse, affilié à l’Association Française des Organismes de Psychothérapie et à l’Association Européenne de Psychanalyse. (3) SFPI : Société Française de Psychanalyse Intégrative
Booster équilibre et dynamique professionnelle.